Quand je n’abusais pas du point d’exclamation, j’alignais sur mon écran des suites de caractères sans signification, qui étaient pure énergie. À l’instant où les danseurs armés de bâtons s’affrontaient comme dans un manga, l’ombre de mon écriture, ce double de moi-même, se rebellait, je tambourinais sur le clavier, main droite oxs) dk !fjm*o, main gauche qsm !!kljd:hf ?m, des deux mains cxkmjjvnmkezFK:SQ;;DN ?VM !JZ E/H. Le geste du danseur devenait le mien, un véritable arc électrique nous reliait
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Myth(e)