La semaine suivante, je retrouvai mon ami nantais au John Mac Byrne, son café fétiche. Il me présenta son livre, Cinéma. Dans ce roman brindezingue, le narrateur en est réduit à ne parler que d’un seul et unique film, qu’il a vu et revu des dizaines de fois. Son existence est minée par le film. Ses goûts et ses jugements, c’est au film qu’il les doit. Selon l’opinion qu’on a du film, on devient ou non son ami. En somme, sa vie ne tient qu’à un film.
Myth(e)